Venant d’une famille ouvrière, j’ai pu bénéficier dans les années soixante d’une bourse qui m’a permis de poursuivre mes études en internat pendant le secondaire. Cette bourse m’a aussi permis de continuer mon cursus en prépa pour ensuite intégrer Centrale Lyon, où j’ai également été boursière.
Cette situation n’était pas facile, mais elle était sans aucun doute moins stressante que ce que nos jeunes de maintenant ont à faire face. C’est pourquoi j’ai été séduite par l’idée de pouvoir diriger mon action vers l’aide à des futurs ingénieurs en difficulté."